Après avoir accusé Éduc’alcool de recommander aux femmes enceintes de consommer de l’alcool et de cacher aux Québécois les risques de cancer en dénaturant nos informations pourtant pleinement accessibles, en omettant l’existence de nos publications les plus complètes et les plus rigoureuses, voilà qu’un groupe de pseudoscientifiques britanniques récidive. Ses « analyses » biaisées nous accusent cette fois de ne pas évoquer les risques de la consommation sur les maladies cardiovasculaires en réalisant le tour de force de ne pas mentionner une seule fois le contenu de notre publication sur le sujet.
Il faut dire que ce n’est pas nouveau. Voilà des années que le procès d’intention – complètement contredit par les faits – est lancé.
Fidèles à eux-mêmes, ils poursuivent leur série de faussetés, notamment sur Éduc’alcool. Voilà qu’ils ignorent totalement la section de notre site qui traite de l’alcool et du cœur (comme si elle n’existait pas), pour aller chercher, hors contexte, dans un document qui traite d’un autre sujet, un extrait sur la base duquel on nous accuse de tous les maux de la terre.
Comme toujours, Éduc’alcool corrige systématiquement toutes les faussetés proférées à son sujet, dans ce cas, comme dans les autres, et la revue qui a publié leur texte, European Journal of Public Health, a accepté de publier sa réplique, qui sera sans doute accompagnée de la réplique des auteurs dans laquelle ils ajouteront plus que vraisemblablement de nouvelles faussetés à leur première liste.
Par ailleurs, ils organisent des séminaires en ligne pour répandre très rapidement leurs faussetés sans que l’on ne puisse avoir accès à ces conférences pour les contredire.
C’est leur tactique habituelle, mais ce qui étonne, c’est le manque de rigueur des comités de lecture de publications soi-disant scientifiques, mais qui deviennent de plus en plus des tribunes de combats idéologiques.
Mieux encore, dans un article publié dans le Journal of Studies on Alcohol and Drugs, autrefois éminemment respectée, le texte Appropriating the Literature : Alcohol Industry Actors’ Interventions in Scientific Journals, tout récemment paru, suggère qu’il soit interdit aux organismes attaqués de se défendre contre les accusations fallacieuses, même si les auteurs critiqués ont un droit de réplique à la réplique.
L’article cite, bien entendu, la réplique d’Éduc’alcool qui avait fait publier un texte démontrant noir sur blanc avec des faits à l’appui à quel point les critiques relatives à ses publications sur l’alcool et le cancer et sur l’alcool et la grossesse étaient erronées et infondées.
Ainsi donc, ils pourraient mentir autant qu’ils le veulent à notre sujet et nous n’aurions même pas le droit de le relever.
On ne peut que s’inquiéter de ce recul de la rigueur. Le monde scientifique n’est malheureusement pas à l’abri des tendances idéologiques et manichéennes qui fleurissent dans nos sociétés. Mais on peut surtout se réjouir du fait que les loups ont beau crier dans le désert, leurs propres excès les condamnent sans que nous n’ayons besoin d’intervenir davantage.
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