Espace sans tabou : des échos inspirants
Une introspection, ça peut parfois être intimidant ou confrontant, mais aussi enrichissant. Découvre les échos inspirants de personnes qui réfléchissent à leur consommation d'alcool.
L'alcool me rend dépressive et anxieuse.
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En tant que propriétaire d'un vignoble depuis près de 20 ans, j'ai vite réalisé à quel point il peut être facile de consommer pour toutes sortes de raisons, et surtout la facilité de prendre un verre de vin quand je le veux.
Donc, j'ai appris à limiter la consommation lors des dégustations avec la clientèle ou lors des assemblages des vins en compagnie de notre œnologue et de nos amis. De plus, à l’occasion des activités à caractère social, la consommation se limite à 1 ou 2 coupes.
PartagerJ'ai naturellement une relation épicurienne avec l'alcool, car j'aime beaucoup cuisiner et découvrir de nouveaux accords et produits. Par contre, je suis entourée de gens qui ont des relations opposées à l'alcool parfois difficiles à concilier. Certains m'incitent à boire et insistent si je refuse, alors que mon conjoint est abstinent depuis deux ans et perçoit très négativement l'alcool. J'ai de plus en plus de difficulté à trouver mon équilibre personnel à travers tout ça.
PartagerJe joue au tennis et nous avons cette phrase culte qui dit : c’est au filet que les points se gagnent et au bar qu’ils se perdent! Lorsqu’on pratique un sport, on voit l’effet néfaste de l’alcool.
PartagerParfois, il m'arrive d'avoir envie de céder à la tentation en me disant : "Un verre, ce n'est pas grand-chose." Cependant, mes nouvelles convictions religieuses m'aident à résister à cette tentation.
PartagerJe bois juste dans des moments heureux maintenant.
PartagerSi je vais jouer un match après un souper arrosé la veille, c’est sûr que ce n’est pas un match que je vais gagner! Et je vois une différence dans ma motivation à aller faire du sport.
PartagerMon état de la veille n’est plus le même le lendemain matin. Je me mets à me poser beaucoup de questions… La vie était belle hier, pourquoi elle ne l’est plus aujourd’hui?
PartagerSi je refuse un verre, évidemment on me demande si je suis enceinte. Il faut alors que je me justifie et comme c’est nouveau pour moi, je n’ai pas encore trouvé la « meilleure » réponse…
PartagerJe suis un hyper sensible, anxieux. J’avais besoin d’anesthésier certaines choses. L’effet calmant de l’alcool, au début, ça fonctionnait très bien. Tout est beau, tu deviens cool, tu te sens à l’aise… Mais à la longue, tu en as besoin de plus en plus.
PartagerJe pense qu’il ne faudrait pas qu’on ait à justifier notre non-consommation. Mais parfois, je demande un verre d’eau qui ressemble à un gin tonic; j’ai l’air de continuer ma soirée mais je bois de l’eau pendant deux heures et ça ne chamboule pas la soirée de personne.
PartagerAvant d’arrêter de boire, je faisais 5 km de vélo et j’étais crevé! Et j’étais loin d’être à un rythme sportif.
PartagerJe ne bois pas seule, je bois tous les week-ends (vendredi, samedi et dimanche) je suis une personne très festive! Et quand je ne bois pas je sens qu’il me manque quelque chose, je me sens incomplète. Une partie de mon identité est reliée à ma consommation d’alcool. Je fais le défi sans alcool chaque année en février et je le réussis bien. J’ai pas consommé tout le long de ma grossesse mais c’était difficile mentalement. Bref, je crois que l’alcool a une trop grande importance dans ma vie.
PartagerJe dis à tout le monde que je ne suis pas dépendante de l’alcool – et on me croit car je n’ai pas de problèmes liés à ma consommation. – Mais moi, je ne suis pas sûre de ça…
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J'ai arrêté d'insister auprès des autres pour qu'ils prennent un verre avec moi. Mais pourquoi on fait ça?! C'est tellement pas de nos affaires si quelqu'un ne veut pas boire!
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Je me suis rendue compte que mon comportement et mes paroles au sujet de l'alcool influencent directement mes enfants. Maintenant, j'évite de dire "j'ai besoin d'un verre" ou "enfin c'est vin-dredi!".
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J'ai tellement de plaisir avec toutes les nouvelles options sans alcool disponibles sur le marché que ça ne me manque pas de ne pas en consommer (Kombucha, matés, mocktails, prêts à boire sans alcool). Le prix des boissons dans les événements qui ne cesse d'augmenter est aussi un incitatif pour moi à moins consommer et mon corps en est bien content en bout de ligne.
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De plus en plus de personnes veulent connaître les effets de la consommation d'alcool sur leur santé physique, mentale et sociale.
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